Les legs et successions

Le diocèse est habilité à recevoir des legs. L’association diocésaine étant totalement exonérée de droits de succession, l’intégralité des legs est donc affecté à la mission de l’Église.
Faire un legs est une façon concrète de manifester votre attachement à l’Église en lui donnant les moyens indispensables à son action, aujourd’hui et demain.

AUJOURD’HUI, par votre legs, vous permettez à l’Église de poursuivre sa mission. Vous témoignez de votre responsabilité de chrétien dans sa vie matérielle.
DEMAIN, grâce à votre legs, même modeste, c’est l’avenir de l’Église catholique que vous contribuez à assurer.

 Grâce à vos legs,
L’Église catholique peut… et pourra

  • CELEBRER les sacrements tout au long de la vie : baptêmes, communions, mariages, sacrement des malades…
  • FORMER des séminaristes qui deviendront les prêtres de demain
  • ASSUMER l’entretien et la construction des églises, repères majeurs pour tout catholique
  • REPONDRE aux questions les plus profondes que se posent les chrétiens, et tout particulièrement les jeunes
  • FAIRE ENTENDRE une voix chrétienne dans l’univers des médias
  • DONNER leur place aux personnes les plus démunies
  • ENSEIGNER le catéchisme dans un monde en quête de repères
  • FACILITER la transmission de la foi entre les générations
  • FINANCER la vie quotidienne des prêtres tout au long de leur vie et jusque dans les maisons de retraite

 Que léguer à l’Eglise ?

Tout type de bien (numéraire, compte titres, bien immobilier, meubles…)
Sous toute forme (legs universel, particulier, en nue propriété, assurance-vie…)

Tout legs, quelle que soit sa valeur, même très modeste, est essentiel pour la vie de l’Église.

- Quelle fiscalité selon le type de legs fait à l’Église ?

Un legs à l’Église est totalement exonéré de droit de succession :

  • Lorsque l’Église est légataire particulier, elle ne doit aucun droit de succession sur le montant de ce legs, qui est bien sûr déduit de la part revenant aux héritiers, et qui ne rentre donc pas dans le calcul du montant de leurs droits de succession.
  • Lorsque l’Église est légataire universel, aucun droit de succession n’est versé à l’État.
  • Si des legs particuliers sont prévus dans le cadre d’un legs universel, les personnes concernées paient des droits sur les montants qu’elles recueillent, aux tarifs indiqués. Toutefois, vous pouvez stipuler que ces legs particuliers soient « nets de frais et droits » : les personnes concernées recueilleront l’intégralité de leurs legs et c’est l’Église qui réglera le montant des frais et des droits à leur place.

En l’absence de testament, les droits à régler à l’état portent donc sur la totalité du patrimoine et dépendent du degré de parenté. Ils sont actuellement de 60% si l’héritage est au profit de parents au-delà du 4ème degré et entre non parents, et de 55% si l’héritage est au profit de neveux.

En cas de testament avec legs particuliers, les droits à payer à l’état sont aux mêmes taux, en fonction du lien de parenté, mais ne portent que sur le montant du legs particulier.

Différentes formules sont ainsi possibles, qui permettent de trouver la meilleure solution en fonction de vos propres souhaits et de votre situation familiale. N’hésitez pas à contacter le service de l’économat diocésain
134, rue Frédéric Suisse 46000 Cahors / 05 65 35 25 84 / econome@diocesedecahors.fr

Contrairement au legs, qui ne prend effet qu’après le décès, la donation est faite de son vivant et a donc un effet immédiat : vous pouvez souhaiter vous séparer d’un bien et le donner immédiatement, quel qu’il soit : immeuble (loué ou libre d’occupation), compte-titres, voiture, œuvre d’art, somme d’argent…

Comme le denier de l’Église, la donation d’un bien à l’Association diocésaine bénéficiera de la réduction d’impôt sur le revenu à hauteur de 66 % de son montant, dans la limite de 20% de votre revenu imposable, reportable sur 5 ans.

L’assurance-vie est une manière simple et pratique de transmettre à l’Église un capital, même modeste, sans avoir besoin de rédiger un testament. Comme pour un legs, aucun droit n’est dû à l’État par l’Église quel que soit le montant du contrat.

Pour en faire profiter l’Église, il suffit de mentionner dans le contrat, dans la clause bénéficiaire, et après avoir vérifié que les droits des héritiers sont respectés, le nom et l’adresse de l’Association diocésaine.

Contactez notre économe :
Maxime Duquennoy : 05 65 35 25 84
econome@diocesedecahors.fr
134, rue Frédéric Suisse - 46000 Cahors

« Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime » (Jean 15,13).

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